• SANS TITRE

    Jeux de Maux.  (Juillet 2003)

    Debout sur le brise larmes, elle regard de l'âme erre. L'heureux gare perdu dans le loin train, elle rêve de cent volées.  Le vent soulève des gens bruns qui sang volent un peu partout. Peu à peu des nus âges gris ans plissent le ciel.  Leur pâle heure se reflète sur la sûre face de la mère. Les vagues brassent une mousse jaune que le vent saoûl lève.  Un bateau de prêche sûr gît derrière le brise l'âme. Elle l'heureux garde ses lois nier.  L'air est lourd et chargé d'humilité. Elle sent quelques doutes de pluie.  Au loin, l'haut rage gronde. Elle dé-censure la plage et ôte ses sous liés. Elle entre dans l'amer jusqu'aux mots laids,  s'éclaircit la voie puis entame un re-frein connu d'elle seule.  Tout en murs murant, elle s'arrête un mot ment et regards d'autour d'elle.  Elle a perd soi un homme qui l'a proche. Il ne lui semble pas à compagne nier.  Sans savoir pour quoi, elle sort de la mère et l'heureux joint.  Ils ce regard de cent parlers.  Il lui souris et elle chat vire. Elle voudrait lui dire ce qu'elle panse, mais déjà leurs corps s'en lassent.   Ils sang brassent intense cément.  Puis, un épais brouille art monte de l'amer et les ans porte.                             


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